Antoine Faivre — Eckartshausen e a Teosofia Cristã ANTOINE Faivre. ECKARTSHAUSEN ET LA THÉOSOPHIE CHRÉTIENNE

- THEATRE - Intrigues peu vraisemblables - Sentimentalité larmoyante - Ses personnages sont trop stéréotypés, mais certains sont d'un comique de bon aloi - Nombreux passages empruntés à Shakespeare - CONTES ET PORTRAITS - Grande naïveté - Influence de Sophie la Roche, Meissner, Gellert - Excellents portraits à la manière de La Bruyère - POEMES ET PROSE POETIQUE - Beaucoup de beaux poèmes dont certains témoignent d'un grand talent - Sentiment très vif de la nature - Tristesse des villes et joies de la campagne - STYLE - Il aime s'entourer de mystère - Goût du roman « gothique » ; mais c'est aussi un précurseur du conte fantastique classique - Il aime les récits paraboliques, les formules synthétiques et connaît l'art oratoire - Son style philosophique est parfois confus à force de vouloir être trop clair - Sa langue est très marquée par le dialecte bavarois